Archive from avril, 2018
Avr 21, 2018 - Bribes de vies    1 Comment

Hier, j’ai eu le reading blues

Je ne sais pas s’il vous est déjà arrivé d’avoir une belle session de déprime après avoir fini un livre. J’ai régulièrement cette sensation de vide après avoir terminé une série dont j’ai enchaîné le grand nombre d’épisodes très vite. Les personnages sont devenus mes amis et ne plus pouvoir les retrouver parce que la série est terminée, c’est presque comme perdre un proche. Oui, j’exagère, mais le sentiment est plutôt fort. Une déprime plutôt difficile s’empare de nous. Heureusement, elle ne perdure pas très longtemps. Notre façon de dissocier la fiction de la réalité nous permet d’apaiser la douleur de la perte de l’ami imaginaire et de se rassurer avec notre routine et nos aventures exotiques. 😉 Read more »

Hier, je me suis posée des questions sur ma santé et mon avenir professionnel et créatif.

Comment écrire quand tu doutes de chacun de tes mots ? Comment écrire quand la fatigue entrave le moindre de tes mouvements et la moindre de tes pensées ? La création n’est pas si simple, n’est pas si facile qu’elle n’y paraît. L’angoisse de la page blanche ne me mord pas, pourtant, mon corps est assoiffé de sommeil et mon esprit s’est embrumé au point de me faire douter de tout.

Je regarde Seigneur-Chat Éden du Carton. Ses yeux luisent dans la lumière. Il me fixe. Il voit. Il sait. Read more »

Hier, je me suis remise à écrire

Accumulation de B'Stiol dans un point d'interrogation - © Kisa 2017

Accumulation de B’Stiol dans un point d’interrogation – © Kisa 2017

Bon avant tout, ce n’était pas hier au sens strict, évidemment. C’était plutôt en décembre 2…
Après une séance d’évaluation de la personnalité (merci G. ^_^) pour l’efficacité du développement l’entreprise dans laquelle je suis salariée, j’ai compris que je n’avais plus le temps d’attendre, plus le temps de tergiverser, plus le temps de me mettre moi, en tant qu’individu, de côté. Je devais donc prendre en main ma vie et surtout ma vie créative.
On nous dit souvent que la vie passe vite et, même si c’est un poncif, c’est la réalité, mais la vie passe d’autant plus vite quand on s’oublie, et elle passe mal. Elle reste coincée au fond de la gorge et nous étouffe. Read more »